Des films (beaucoup de films) et du foot (beaucoup de foot !), des moments partagés, un copain plus ou moins retrouvé, et, hélas, un décès… Un peu plus d’un mois après le dernier article publié sur ce blog, les nouvelles ne manquent pas !
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Des films (beaucoup de films) et du foot (beaucoup de foot !), des moments partagés, un copain plus ou moins retrouvé, et, hélas, un décès… Un peu plus d’un mois après le dernier article publié sur ce blog, les nouvelles ne manquent pas !
« Du pain et des jeux ». Les prétendus intellectuels du net ou des médias ont la fâcheuse habitude d’employer cette expression pour mépriser les amateurs de sport chaque fois qu’une grande compétition fait l’actualité ou qu’un match de foot défraye la chronique. Pour ces personnes « éclairées », vibrer pour une équipe ou suivre un tournoi, que ce soit dans un stade ou à la télévision, ne serait qu’une preuve de soumission à la société de consommation et une distraction à la fois abrutissante et avilissante, un hobby de « beauf ». Ne souhaitant pas m’étaler sur les probables incohérences du mode de vie de ces gens, je veux plutôt exposer aujourd’hui tout ce que le sport professionnel peut apporter – en plus du plaisir et de la détente – et prouver qu’il permet une véritable ouverture sur la culture.
En mars dernier j’ai réalisé un rêve en assistant à deux matchs des Chicago Bulls dans leur mythique salle, le United Center. C’était donc une obligation d’en faire un compte-rendu et de raconter l’envers du décor, avec quelques anecdotes et des photos. C’est parti !